[Rapport] Une ombre sur Stormwind

Je met ici les rapports d'enquêtes qui font suites aux événements tragiques qui ont secoués Stormwind ces derniers temps.
Les rédacteurs sont souvent différents, je vous rend leurs rapports tels quels.
Ces rapports et certains commentaires sont aussi accessibles à la bibliothèque officielle, voici les références réf-pol-rap-72234

Voici le premier rapport rédigé par le Marquis Skalfkrag :

Le sergent-chef Skalfkrag, marquis du bar des brasseurs d'Ironforge, galopait à dos de bélier en direction de Goldshire. Sur odre de ses supérieurs, il devait se rendre dans la petite ville et rodronner le rassemblement des habitants au centre, pour le contrôle habituel de la population. Cela ne le réjouissait pas vraiment, il avait en effet prévu de déguster quelques nouvelles bières brassées par un de ses amis, mais il avait fallu que ce fut lui qu'on nomma pour cette tâche. Mais lors de ces rassemblements obligatoires, les gens sont souvent rétissants, et en prévoyance de cela, Skalfkrag sollicita l'aide de certains de ses brasseurs, qui se rendirent eux aussi à Goldshire.

Enfin, sous une nuit étoilée, le marquis du bar arriva dans la petite ville. Il se rendit à la fierté du lion, histoire de manger quelque chose, car son estomac criait famine. Après cettecourte pause, il se décida à accomplir sa tâche. Dehors, il hurla l'ordre de rassemblement. Comme prévu, certains se débinèrent, mais fort heureusement, des brasseurs étaient là pour rattraper les réfractaires, et les inviter à obéir. Finalement, cela ne se passa pas trop mal, et les gens furent rapidement rassemblés au centre de la petite ville. Skalfkrag s'apprêta alors à l'inspection, tâche qu'il répugnait à accomplir. Mais pourquoi cet idiot de caporal était-il tombé malade? C'est lui qui aurait du être là ! Le nain demanda le silence, qui se fit heureusement rapidement. Seuls les bruits des animaux nocturnes le troublèrent quelque peu.

Soudain, un cri de pur terreur retenti, faisant frémir toute l'assemblée. Skalfkrag et les brasseurs tirèrent leurs armes et coururent vers l'endroit d'où provenait l'affreux cri.
Il était là, au pied d'un jeune arbre, la gorge tranché nette, une expression de peur figée à jamais sur son visage. Le sang de l'homme ruisselait sur la verte herbe d'Elwyn. Les brasseurs jetèrent des regards scrutateurs autour d'eux, cherchant l'assassin; mais ils ne virent que les ténèbres...

Salutation, aventuriers d'Azeroth et d'ailleurs. Le haut commandement de Goldshire sollicite votre aide. Des problèmes plus importants occupent les autorités, et par conséquent, nous vous demandons d'enquêter sur ce crime, qui ne doit pas resté impuni ! Guerriers, prêtres, et autres fervents serviteurs de l'alliance, faites preuve de perspicacité, et éclaircissez cette affaire. L'enquête est dirigé par le cercle intérieur des brasseurs d'Ironforge, contactez donc Arhus, Hexdur, ou Skalfkrag pour toute information ou nouvel élément de l'enquête.
Merci à vous.

Le second, toujours rédigé par le Marquis:

Skalfkrag retourna à Goldshire afin d'y retrouver un nouvel enquêteur volontaire, un paladin au service de la lumière nommé Alcore. Ce dernier interrogeait déjà les habitants de Goldshire quand le nain arriva sur la place à dos de bélier. Les présentations furent rapides, la tâche à remplir étant importante. Le corps d'un vieux prêtre fut retrouvé au centre de la la foire de sombrelune, au grand étonnement d'Alcore et Skalfkrag.Peu de temps après, deux autres enquêteurs rejoinrent Alcore et Skalfkrag, un elfe nommé Gorfindel, et un humain du nom de Gardos. Ils informèrent le sergent-chef Skalfkrag de la présence d'un mort-vivant dans les environs du lac cristal. Aussitôt, Alcore et Skalfkrag lancèrent leur monture au galop. Malheureusement, les recherchent furent infructueuses et les deux compagnons revinrent à Goldshire. Accompagnés de Gardos et Gorfindel, ils décidèrent de fouiller les tentes de la foire de sombrelune mais là aussi, rien de nouveau n'apparu. Cependant, Alcore appris que la nuit du meurtre, la cage de Félini, une puissante panthère avait été ouverte alors que les forrains buvaient à la fierté du lion. Cette panthère est végétarienne, mais bien capable de tuer.

Un réprouvé rôdant dans les bois d'Elwyn, une panthère aux crocs aiguisés... tout cela était bien étrange. D'autre part, le fait qu'aucune trace de sang en fut trouvée près des deux morts étonna Alcore, Gardos et Gorfindel qui soutenaient que des éclaboussures de sang étaient inévitables lorsque l'on tranchait la gorge de quelqu'un. Mais Skaflkrag, en plus d'un guerrier était un médecin agrée par la guilde des médecins d'Azeroth. Il expliqua qu'il était possible d'éviter des éclaboussures de sang en penchant la tête de la victime sur le côté et en tranchant sa gorge et haut en bas. Mais ceci impliquait le travail d'un expert. De plus en plus étrange. La thère de la panthère semblait être à oublier...mais tous les doutes possibles subsistaient. Etrange affaire...

Les enquêteurs se séprarèrent. Skalfkrag quant à lui, comptait bien se rendre à Stormwind d'ici peut, afin de rendre un rapport détailler des derniers évènements au haut commandement.

Toujours rédigé par le Marquis :
Skalfkrag hurlait le rassemblement général sur la grande place du quartier commercant de Stormwind. Il fallait que tout le monde soit prêt à recevoir convenablement le magistrat Turambar. Skalfkrag ignorait pourquoi, mais c'est lui qui fut désigné par le major pour superviser la protection du magistrat lors de son séjour à Stormwind. Ce dernier
était envoyé par Dalaran pour demander au roi de lui accordé un crédit pour la reconstruction de Dalaran.

Au bout de plusieurs minutes, de nombreuses personnes se tinrent debout de chaque côté de la vallée des héros, dans l'attente de l'arrivé de Turambar. Skalfkrag lui, se tenait face au portail, à l'autre bout de l'allée. Finalement, on put enfin entendre :

-Faite place au magistrat Turambar !

Alors, un homme au port impérial apparu, flanqué de deux gardes du corps, l'un robuste, l'autre élancé. Tout le monde se mit au garde à vous et salua dignement Turambar. Un cortège se forma alors, et le magistrat fut escorté dans les rues sinueuses de la capitale, jusqu'au donjon. L'entretien avec le généralissime et le magistrat ne dura que quelques minutes. Le roi semblait vouloir réflechir à la demande de Turambar. Ce dernier reparti alors, souhaitant se reposer à l'auberge du cochon siffleur, dans la vieille ville.

Skalfkrag ne quittait pas le magistrat d'une semelle, et le cortège suivait toujours. Soudain, alors que le cortège se trouvait dans une sombre ruelle, un cri se fit entendre, quelques ruelles plus loin semblait-il.

-Au meurtre !!! Au meurtre, au secours !

Aussitôt, Skalfkrag lanca son bélier au galop, suivit du cortège tout entier. Ils cherchèrent en vaint une évenutelle victime à secourir, mais rien. Soudain, un doute affreux les saisi tous. Le magistrat ! Il retournèrent le plus vite possible là où ils avaient laissé Turambar. Ils découvrirent deux corps sur le sol humide de la ruelle, celui de Turambar et de l'un de ses gardes du corps, le plus robuste des deux. Ce dernier avait une profonde et nette entaille allant de son pecotral gauche jusqu'à la partie droite de son ventre. Turambar lui, avait la tête tranchée nette. Alcore, un grand paladin de la lumière ne put lui-même pas sauver le magistrat. C'est alors qu'Odibus, un prêtre nain membre des brasseurs d'Ironforge s'aperçu que l'un des deux gardes du corps manquait, le plus élancé des deux.

-Par la lumière, s'écria-t-il, il faut absolument le retrouver !

Un groupe de battue fut alors formé, et les volontaires se lancèrent à la recherche du présumé assassin dans les rues de Stormwind. Après plusieurs longues minutes, Skalfkrag eu une idée.

-Où une ombre se cacherait-elle, si ce n'est au sein même de la lumière ?

-La cathédrale, s'écria alors Odibus !

Le groupe se rendit donc à la grande Cathedrale. Ils finirent enfin par retrouver le garde du corps assassin du magistrat au plus profond des catacombes de la place forte de la lumière. S'ensuivit alors une folle course poursuite. Le gorupe fut retardé par un nouvel arrivant qui leur lança des dynamites. Les membres de la battue furent distraits et poursuivirent la mauvaise personne, et perdirent donc le faux garde du corps. Ils se décidèrent alors à bloquer les portes de la ville, ce qui empêcha l'assassin de fuir par là.

-Il ne fuira pas par les portes, dit Alcore, soutenu par Gorfindel, l'elfe.

-Non en effet, répondit Skalfkrag....mais...par ma barbe !!! Par par la porte, mais par les airs ! Les griffons !

Le groupe se dirigea alors à toute allure vers le nid des griffons. Ils rattrapèrent de justesse l'assassin, et lui bloquèrent le passage. Il se retrouva dos au vide. Il fut assallit de questions:

-Qui es-tu?
-POur qui travailles-tu misérables?
-Je vais te pourfendre !
-Par la lumière tu seras châtié !

L'assassin toisa alors l'assistance.

-Haha, vous ne savez rien. Vous ne pouvez plus rien faire, nous sommes plus puissants que vous le pensez, la machine est en marche et ne peut pluss'arrêter.

Il se tourna alors vers le vite.

-Adieu.

Il sauta dans les douves. Il ne fallut qu'une seconde avant que les membres de la battue ne fassent de même afin de le rattraper. Mais ilsne virent que l'eau noire. Il semblait que l'assassin se fut échappé par les égoûts...]

Quatrième rapport du Marquis Skalfkrag :

Suite du chapitre 1 de l'event.


Le rassemblement se fit encore en plusieurs minutes, au quartier commercant de Stormwind. Cette fois, ce fut une vingtaine de personne qui constitua le cortège. Skalfkrag, suivit du cortège, parcouru les rues de la capitale jusqu'au donjon, afin de s'entretenir avec le major. Tous s'agenouillèrent d'abord devant le petit roi. Puis ils entrèrent dans les quartiers du major Samuelson, chef du sergent-chef Skalfkrag. Ce dernier lui fit un rapport des derniers évènements. Mais son échec quant à la protection du magistrat Turambar lui valut d'être rétrogradé, punition à l'annonce de laquelle il ne broncha pas.

C'est alors que Samuelson tendit une lettre à Skafkrag. Un informateur de la guilde des espion du SI 7 semblait détenir une information cruciale concernant un évènement de cette nuit même. Le nain fit part de celà au cortège, et leur expliqua qu'ils se devaient de le rencontrer en personne, dans un lieu de rendez-vous bien défini. Tous saluèrent Samuelson, et prirent congé. Certains quittèrent le cortège, se sentant peu concernés par les évènements.

Le cortège arpenta les rues sinueuses jusqu'a une ruelle bien plus sombre que les autres, la ruelle du coupe-gorge. Tous s'y engouffrèrent. Skalfkrag bifurqua à gauche, et regarda derrière un arbre. Rien.
Soudain, on put distinguer une silhouette. L'espion se manifestait. Le silence fut fait afin d'écouter ce qu'il avait à dire.

-Il semble qu'une étrange réunion ai lieu dans la cave de l'une des auberges de la ville, cette nuit même, au cours de laquelle s'entretiendraient des individus semblent-il affilités à une guilde. Mais vous devez faire vite, leur réunion s'achève à minuit.

Sur ce, l'espion parti tranquillement, et disparu dans les ténèbres.
Aussitôt, Skalfkrag décréta que la chasse pouvait commencer. Ce fut le début d'une longue recherche. Chaque auberge fut passée au peigne fin, de la manière la plus discrète possible, de sorte que des conversations puissent être entendues. Mais rien. Après l'agneau assassiné, l'auberge du feu ronflant (celle des brasseurs), l'auberge du cochon siffleur, l'auberge du parc....rien. Il ne restait que l'auberge la plus distinguée qui soit dans tout Stormwind. Mais était-ce possible? Le Solitaire bleu ! Le cortège, déjà diminué du faire de 'limpatience de certains qui préférèrent vaquer à leurs occupations. Mais une quizaine de personnes subsistait.

Ce fut à minuit moins une que le cortège entre enfin dans le solitaire bleu (véridique ! ^^). Le plus discrètement possible, ils s'engouffrèrent dans les cuisines. Ils écoutèrent et purent entendre trois voix...

-Le seigneur Falkenheim arrive à Stormwind, je n'aimerais pas être à la place de ses victimes.

-Dommage que cet idiot d'Altharion se soit fait remarqué. Il faudra l'éliminer.

-Attendez....je crois que j'ai entendu du bruit.
Vite dispersons nous !

Alors le cortège entra dans la cave et surprient trois hommes vêtus de noir. Mais ils ne les virent qu'un instant. Deux d'entre eux disparurent en quelques secondes, s'aidant des ombres pour se dissimuler. Seul l'un d'eux ne fut pas perdu de vue. Tous se mirent à sa poursuite.
Au bout de quelques minutes de poursuite, ils entrèrent dans le quartier des nains, passèrent de vant l'auberge du feu ronflant, et arrièvent en vue du tunnel menant au tram. Deux gardes se trouvaient heureusement là.

-HALTE !!

-Misérables, laissez-moi passer !

Le fuyard éxécuta alors un enchaînement de mouvements avec une dextérié impressionante, et en deux secondes tout au plus, les deux gardes s'écroulaient à terre. Alcore s'arrêta pour le porter secours, les autres entrèrent dans le tram à la suite de l'assassin. Mais encore une fois, ce dernier ne fit qu'un avec les ombres et échappa à ses poursuivants. Décidement, ces hommes sont doués.
Tous revinrent alors vers les deux gardes qui furent ramenés à la vie par le paladin Alcore. Les gardes étaient ébahis.

-On a rien vu venir, rien pu faire.
-Non, bon sang, il était trop rapide.

-De fins bretteurs donc, pensa Alcore.

C'est ici que se dispersa à la majorité du cortège. Ne restèrent que Gorfindel, Daïm, Alcore, Harahel, Khargakar, et le marquis. ILs furent bientôt rejoints par Hexdur et Arhus, deux maîtres brasseurs amis du marquis.

-Bon sang, hurla Hexdur, que s'est-il passé?!

Finalement ils décidèrent d'aller se restaurer à l'auberge du feu ronflant. Ils marchèrent péniblement vers la bâtisse. Soudain, un fort bruit d'explosion se fit entendre, et une gerbe de feu illumina la nuit.

-Par la grande choppe, hurla Skalfkrag ! Mon auberge !

Ils coururent vers l'auberge, entrèrent. Tout avait pris feu ! Dans un réflexe, Hexdur pris le temps de sauver les réserves de bière bien que certaines aient explosé. Les autres jettèrent de l'eau pour apaiser els flammes. Au bout de quelques minutes, le feu fut éteint, mais l'auberge était dans un sale état, et le marquis était en rage. Hexdur affirma qu'ils allaient reconstruire et rénover tout ca. Le nain commenca d'ailleurs à la minute. Skalfkrag décida de faire de même. Arhus en revanche, proposa aux quelques personnes encore présente de continuer l'enquête.

C'est dans les débris de l'auberge du feu ronflant que se ferme le rideau de cet épisode à Stormwind.

Rapport de l'enquêteur Alcore :

Après l'explosion de l'auberge des brasseurs, la tension était belle est bien palpable par tous les aventuriers qui était rester. D'un comme un accord il fut décider d'intensifié les enquetes. En effet il n'était pas acceptable de laissé du repis a ces meurtriers. Nous partime donc la ou tout avait commencé pour chercher encore une fois, des indices et des temoins.

Une fois arrivé à Golshire, et après avoir jeté un coups d'oeil rapide dans les rues deserte de la ville, nous rentrâme dans l'auberge. C'est alors que Daîm remarqua une jeune femme louche dans l'auberge. Alcore de Phecda, qui était le protecteur de Golshire connaissé bien tout les habitant de cette ville, remarqu'a que ce n'était qu'une serveuse. Mais il décida de tentez sa chance quand même. Il demanda donc a la serveuse, (pour des raisons de sécurité évidante son nom restera secret,) après une brève présentation, si elle s'avait des choses sur les deux meurtres qui avait eu lieu ici même. A cette question la serveuse ne pus répondre, mais son visage, avait répondu pour elle. Alcore remarqu'à alors que la serveuse était litéralement térrifié. Il tenta donc de la rassuré, mais ce ne fut chose faite que lorsqu'il lui montra une lettre de menace anonyme que les meurtriers avait envoyé a Alcore.
Quand la serveuse vit que le groupe d'enqueteurs était contre les hommes qui lui fesait si peur, elle accepta de dire ce qu'elle savait. Elle ne connaissait pas la premiere victime, mais elle savait qu'elle n'était pas de Golshire. Et elle avait térriblement peur elle aussi, elle disait même que la premiere victime avait dit:
"la mort me traque".
La serveuse était en train de débarrasé les tables quand elle entendu un cri, elle regarda alors a la fenetre et vit la première victime, et son assassin lui tranché la gorge avec une déxterité que beaucoups reverais d'acquérir. A reparler de cette évenement choquant, elle se mit a fondre en larme, et Alcore tenta de la réconforté. Au bout de quelque minutes elle repris :
"maintenant je sais pourquoi l'homme disait la mort me traque. Cette assassin est une ombre, il se déplace comme une ombre. Et...au mon dieu...il m'a vue"

A cette phrase Alcore ne pus s'empeché de penser que la serveuse était gravement en danger. Elle repris :
"il m'a regarder avec ces yeux, mon dieu..." puis se remit a pleurer.
Alcore et tout le groupe d'enqueteur remercia la serveuse pour ces précieuse informations, tout en essayant en vain de la rassurer. Après cette discution fortement évolutive pour l'enquete, il était important de faire le point de ce que l'on savait, et c'est a cette instant qu'il sembla clair, que si la première victime qui n'était pas de Golshire savait qu'elle était traquer. Elle devait sans nul doute savoir par qui, et pour quoi. Et que les hommes qui le traque ne devait pas etre de Golshire non plus. Après ce rapide point de situation, le groupe pris la route de Stormwind.

Ou nous retrouvons Skalfrag dans son auberge en plein travaux de reconstruction. Après un résumé de la situation, tous prire la route de Ironforge, via le mettro, dans l'espoir de trouver des indices sur le fuyard de tout a l'heure.

A notre grande surprise le groupe tout entier a peine arriver sur les banc du metro se firent incendier par une vielle gnommette aigri. Elle nous crié dessus sous pretexte que nous l'avions reveillé. Le groupe d'enqueteur qui avait vecu une rude journée fit d'abord des excuses, mais en voyant que la gnommette continuer a être éxécrable, la colère pris Alcore et SKalfrag. C'est alors que la gnomette dit le mot magique, elle fut réveillé tout a l'heure par un homme en noir. Tous fit le raprochement, et le ton baissa bien vite. Alcore chercha a lui soutiré des informations, mais la gnommette n'était pas du tout cohopérative. Elle éxiga d'être payé, après de tres longue négociation un tarif fut choisi, mais la patience de Skalfrag, et de Alcore avait atteint ces limites.

La gnommette se mit donc a parler, parler pour rien dire, mais elle parler beaucoups. A un moment elle nous dit que le meutrier avait dit :
"le marquis vas être content!
Skalfrag qui n'en pouvais plus se mit a menacer la gnomette. Action qui fut calmé par Gorfindel, Alcore quand a lui, commencait a etre aussi énervé qye Skalfkrag. Quand a elle la gnommette ne se rendait absolument pas compte de la gravité de la situation, et de l'etat dans lequel nous étions, a bout de nerfs. Elle nous raconta qu'elle avait entendu l'homme en noir parler tout seul dans le mettro. Sans rien nous apprendre de neuf dans l'enquete. C'est alors qu'a son apogé de rage Alcore et Skalfrag monta dans le mettro avec Gorfindel et Harahel, la gnomette nous suivit. Quand Skalfkrag vit que la gnomette montait avec nous il decendit vite avant que le metro ne demare. La gnomette se mit donc a reparler, et Alcore n'en pouvais plus, il glissa donc sur un papier (mal entretenue les mettros quand meme^^^) et fit "malencontresement" tomber la gnomette du metro en marche. Puis Alcore, Gorfidel, et Harahel reprire le prochain metro pour Stormwind ou nous retrouvions Skalfrag, qui était litéralement a bout de nerf.

Skalfkrag huralit qu'il ne fallait pas croire la gnommette, qu'elle était folle. Se qui semblait tout a fait vrai pour Alcore, qui lui même lui répondit que de toute facon elle n'avait rien dit d'interessant. A cette instant alors même que nous partions nous reposé la gnomette resurgie, en piteux état et se mit a hurler de plus belle contre nous. Sans était trop pour Skalfkrag qui la pris par le col baque et qui la fesait tanguer dans le vide des rail du mettro. La gnommette térrifié hurlait et se cramponné de toute ses force a Skalfkrag qui lui la sommait de le laché. Alcore vit le metro arrivé il décida donc de prendre la gnommette par la ou c'etait possible, les cheveux. La gnommette fut malheuresement attirer par le metro et tombat en laissant une touffe de chevehux blanc et gras dans les mains d'Alcore. Gorfindel et Harahel qui avait encore de la patience, fut surpris, Skalfkrag et Alcore quand a eux, ne pouvais plus suporter la gnommette qui gisait quelque metre plus bas en hurlant. Alcore la soignie de son mieux et Skalfrag sauta pour la rejoindre, afin de regler ses compte avec elle. Il était plus qu'énnervé, c'était impossible de le calmé. Gorfindel et haharel essayait d'appaisé la situation, en vains. La gnomette quand à elle profita de ce moment pour ce sauvé.

Et à l'instant ou nous decidame d'un comme un accord de tous nous reposé, Skalfkrag recroisa le regard de la gnome, et repartie de plus belle dans une rage que personne ne put reussir a contenir. La gnomette elle était bien proteger par les grillage des agent de la sociter du metro, et lancé des tiquets sur Skalfkrag pour le faire fuir. Alcore Harahel et Gorfindel voyant que Skalfrag ne pouvais attendre la gnommette decida eux d'allez ce couché après cette terrible journée.

Rapport rédigé par l'enquêtrice Irae :

Quelle soirée mouvementée ça a été!

Après m'être rendue rapidement sur les lieux, prévenue par mon amie Morgan, plus connue sous le nom de Panther, je me suis jointe au groupe de recherche. Nous avons quadrillé la ville mais en vain. Voyant l'heure tourner et nos chances de retrouver notre contact vivant s'amoindrir, les mines ont commencés à s'assombrir. Aprés avoir décidé, dans un dernier effort desespéré, de nous séparer en petit groupes restreints, les recherches ont repris de plus belle.
Malheureusement nous n'avons pas été long, cette fois-ci, à découvrir le corps mourant de notre contact.
Immédiatement j'ai commencé à prier la Lumière de bien vouloir prendre soin du blessé, mais en vain, je ne sais quelles crimes il a pu commettre, mais mes prières et celles des autre ont été incapables de les racheter. Avant de mourir il a juste prononcé deux noms : Falkenheim et les Long Couteaux.
Nous avons ensuite interrogés les commerçant du lieu, ce qui ne nous a rien donné de trés "probant". Toujours les même histoires à propos de personnes qui se meuvent dans l'ombre et surgissent à l'improviste pour tuer.
Un peu amers de cette poursuite ratée, nous nous sommes finalement décidés à terminer la nuit au "Solitaire Bleu". Au vu des événements qui s'y étaient déroulés précédement, le choix m'a paru un peu étrange sur le coup, mais partie pour partie j'ai fini par oublier le danger supposé de ce lieu. Pourtant... c'est sur la route vers ce lieu que j'ai commencé à ressentir comme une présence à notre suite. Ne voyant pas mes compagnons réagir, je me suis dit que la fatigue devait me faire divaguer et une fois à l'auberge cette sensation était oubliée. Ce n'est qu'une fois installé dans l'auberge que les choses ont pris une drôle de tournure. A peine assise, je voyais un de mes compagnons bondire vers une ombre.Alors qu'Harahel s'écriait : " c'est Valt, tous sur lui!", la plupart d'entre nous étaient déjà à sa poursuite.
Ce qui s'est passé ensuite, je n'arrive toujours pas à me l'expliquer. Nous avons finis par le coincer dans la cave, il n'avait aucun moyen de fuir, en tous cas pas que nous ayons trouvé. Pourtant il nous a bien échapé, ce diable d'homme a tout simplement disparu de la surface d'Azeroth. Nous avons retourné chaque recoin de cette cave, impossible de le retrouver.
( Note perso : Le "Solitaire bleu" semble être un de leur lieux favoris, je penses qu'un suveillance pourrait être assez profitable)
Finalement, la lassitude finit par l'emporter et chacun est parti rejoindre sa chambre pour goûter un repos peut être pas si mérité que ça.
Mais une mauvaise surprise m'attendait au réveil. En ouvrant mon courrier ce matin là, j'ai tout de suite repéré cette lettre à l'écriture inhabituelle. Qui pouvait bien m'écrire? A peine jeté un coup d'oeil au contenu que je m'effondrais sur ma chaise. Valt! Encore lui, les menaces dont il me faisait part ne m'impressionnèrent pas, non, ce qui me fit trembler fut l'autre nouvelle que contenais cette lettre...
Falkenheim est en ville, et si j'en crois la missive, Stormwind est en danger.

Extrait du "Journal d'une prêtresse de l'alliance" - par Irae, prêtresse de la Lumière

deuxième rapport de l'enquêtrice Irae :

Il faisait comme toujours un temps radieux sur Stormwind. Nous étions tous rassemblé sur la grande place, tous prêt à enquêter avec le plus grand sérieux. Les dernières informations que nous avions obtenues nous avaient glacé le sang. Falkenheim était à Stormwind, promettant a cette cité un bain de sang comme elle n’en avait jamais connu. Il n’était plus possible de laisser les choses courir, le besoin d’informations fraîches se faisait gravement ressentir, et le temps semblait nous filer entre les doigts. Il était temps de mener des interrogatoires serrés auprès de divers habitants de Stormwind.

C’est d’un commun accord que nous nous sommes dirigés vers les locaux du SI:7, après tout ils sont sensés être les mieux renseignés dans Stormwind, et vu la dangerosité du personnage, nous étions sur d’apprendre des informations essentielles. Se fut une grande déception que d’apprendre qu’ils en savaient peu sur ces affaires, ils avaient à peine enquêtés, semblant ne pas se rendre compte des dangers représentés par Falkenheim. Mais après tout ce sont des espions, et bien malin qui pourrait savoir ce que pensent réellement ces gens. Toujours est il que nous avons au moins appris que le magistrat Turembar était un membre du conseil de Dalaran venu à Stormwind pour négocier un prêt pour aider à la reconstruction de leur ville. La seule personne qui pouvait nous en dire plus à se sujet s’avéra être Dame Katranna. D’un seul bloc nous nous sommes dirigés vers le Donjon de Stormwind.

D’un seul bloc… pas tout à fait… Il s’est avéré que certaines personnes de notre groupe, parmis les plus sensibles, ont commencé à se sentir épiés, à voir des ombres un peu dans tous les recoins des ruelles. Le groupe s’est alors scindé, un partie partant à la poursuite de ces ombres tandis que l’autre continuait vers le Donjon de Stormwind.

Nous avons demandé une audience à Dame Katranna, celle ci, bien que sans doute débordée par ses responsabilités, a bien voulu nous l’accorder. Nous avons alors appris qu’une personne était opposée au prêt pour Dalaran, en effet ce prêt visait directement ses intérêts puisque lui-même prêtait de l’argent à Dalaran, mais à un taux d’intérêt bien supérieur à celui que proposait le gouvernement. Dame Katranna finit par nous livrer son nom, Daggerfall, tel était donc notre prochain interlocuteur.

Nous nous sommes alors dirigés vers le quartier des nobles, afin de rencontrer ce Seigneur Daggerfall. Celui-ci nous reçu assez rapidement, mais il nous a semblé évident qu’il ne parlerait pas facilement. Usant tour à tour de la dérision et de la menace il nous mis rapidement en difficultés. Seulement l’enjeu dépassait nos propres personnes, et ces menaces ne nous touchèrent pas. Par contre les notre le touchèrent… C’est une âme corrompue et veule que nous avons mise à jour, en effet il avait bien commandité le meurtre du Magistrat. Mais par contre il n’avait jamais eu de contact avec les « Longs Couteaux », les assassins de Falkenheim, ce sont deux de ses serviteurs qui avaient servis d’intermédiaire. Malheureusement, la noirceur du Seigneur Daggerfall n’ayant pas de limites, il les a fait assassinés peu de temps après, afin de cacher son forfait en éliminant les témoins.
Cependant, cernés de toute part, Daggerfall finit par lacher une information essentielle. Falkenheim étant le dernier témoin, Daggerfall venait d’engager un groupe de tueur afin de l’éliminer, d’après ses dires, ils étaient mêmes déjà sur sa piste. Une fois de plus nous retombions sur une société secrète d’assassins, les « Lames Ecarlates » (HRP : je ne me souviens plus du nom exact). Profitant de l’effet de surprise de cette révélation le Seigneur Daggerfall en tentait de nous fausser compagnie… Bien mal lui en prie, car à peine était il sortit du Donjon, qu’une ombre surgissait et lui tranchait la gorge, le jetant dans le lieu qui lui convenait le mieux, le caniveau. Bien sur, l’assassin avait déjà disparu.
C’est un peu dépité que nous en sommes retournés, vaincu par cet assassinat et l’heure tardive… Mais au moins un des meurtres avait été élucidé, certes, présenter le Seigneur Daggerfall à la justice aurait été préférable, mais au bout du compte, ce misérable avait obtenu ce qu’il méritait.

Extrait du "Journal d'une prêtresse de l'Alliance" - par Irae, prêtresse de la Lumière